Bonjour à tous et à toutes,
Et non, nous n'avons pas disparu en brousse dans un village peul. Nous sommes toujours sur la route entre spectacles, rencontres, échanges musicaux et surtout bonheur et chaleur. Dimanche nous avons quitté Dagana avec un petit pincement au coeur car l'accueil de Papa Meissa, Blandine et Pierre était vraiment d'une grande humanité. (nous les saluons d'ailleurs au passage)
Nous sommes donc arrivés à Podor. Journée plutôt tranquille avec une répétition au bord du fleuve face à la Mauritanie.
Et non, nous n'avons pas disparu en brousse dans un village peul. Nous sommes toujours sur la route entre spectacles, rencontres, échanges musicaux et surtout bonheur et chaleur. Dimanche nous avons quitté Dagana avec un petit pincement au coeur car l'accueil de Papa Meissa, Blandine et Pierre était vraiment d'une grande humanité. (nous les saluons d'ailleurs au passage)
Nous sommes donc arrivés à Podor. Journée plutôt tranquille avec une répétition au bord du fleuve face à la Mauritanie.
Ce matin, une nouveauté : la route. 4 heures de voyage pour aller jusqu'à Matam. Accueilli par Mamadou Diaw nous effectuons le marathon des protocoles entre la famille, le proviseur du lycée, les voisins, les amis, le secrétaire de région et l'adjoint du centre culturel. Nous apprenons nos premiers mots de pulaar toucoulaure. Le soir tombe au bord du fleuve mais la chaleur reste constante, Mamadou nous promet d'aller en Mauritanie demain matin. Nous sommes impatients et curieux de cette découverte.
Bisous à tous, bonne continuation et à très bientôt,
Maud, Adama, Eric, Félix, Mathieu et Pierre-Yves
PS : Pour ceux qui pensent que nous avons passé une journée à buller, je vous rassure on a joué cet aprem devant les gamins du quartier et nous jouons ce soir le spectacle dans la rue.
3 commentaires:
Ouf ! vous revoila. Vite je suis allé consulter une carte du Sénégal, car c'est moi qui suis perdu. Dites-donc vous ne prenez pas le plus court chemin entre Dakar et Tambacunda ! Et vous pouvez entrer comme ça en Mauritanie. Ils n'ont pas d'Hortefeux chez eux ?
Bravo pour toutes vos expériences musicales. Dommage que Graffiti n'aille pas jusque là-bas.
Comme le dit Bernard, Ouf !
L'inquiétude commençait à se faire sentir.
Mais, apparemment tout se passe bien et vous êtes toujours autant occupés.
Heureusement qu'il y a Internet, le progrès a aussi du bon.
Je suis votre parcours sur une carte car la géographie et moi, ça fait deux.
Bisous de toute la famille et soyez très prudents.
Sous vos plumes, on découvre, on redécouvre le pays de la Teranga. Il ne manque plus que le parfum d'un Tieboudjen ou d'un thé fumant et l'air entraînant d'une musique tzigane aux accents Mbala.
bien à vous
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